Le nom de celui qui, avec les moyens d’action les plus chétifs, dota la Tunisie de son premier hôpital, de son premier collège, de sa première presse, de son premier embryon de musée, peut-être de sa première société savante, n’y est guère connu que de quelques vieillards 3 ». Depuis l’indépendance de la Tunisie, rares sont les travaux s’intéressant à cet homme né à Gaujan en 1806, nommé vicaire à Mirande en 1832, devenu missionnaire apostolique, parti pour Alger en 1838 et installé entre Tunis et Carthage de 1841 à 1858
https://anabases.revues.org/1680
|
Abbé Bourgade |
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق